đź–‹ Soutenir les accompagnants d'enfants en situation de handicap (AESH)
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Si la loi a affirmĂ© le « droit Ă la scolaritĂ© pour tout enfant ou adolescent handicapĂ© », dans les faits, l’école ne garantit plus l’inclusion scolaire pour tous. Le temps moyen d’accompagnement a largement baissĂ© pour des enfants dont le handicap, lui, n’a pas d’horaire. Pour les familles, les dĂ©marches sont devenues un vĂ©ritable combat Ă©reintant.
De leur cĂ´tĂ©, les AESH, Ă qui on impose le temps partiel (20 ou 26 heures, rarement 30) et une très faible rĂ©munĂ©ration (environ 830 €/mois net), ont parfois jusqu’Ă quatre ou cinq enfants Ă leur charge. Les enfants sont les premiers Ă pâtir de ce manque de considĂ©ration : pertes de repère, perturbations dans les apprentissages, rĂ©gressions des acquis comportementaux et scolaires pouvant entrainer la dĂ©scolarisation…
En avril dernier dĂ©jĂ , les syndicats enseignants et AESH girondins avaient alertĂ© le rectorat. L’aide des AESH ne constituant pas un confort mais bien une nĂ©cessitĂ©, j’ai demandĂ© via une question Ă©crite au Ministre de l’Education nationale la revalorisation de cette profession qui se sent malmenĂ©e.
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Le 21 septembre